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✨ Photos bonus "Pisse Mémé" ! ☕ Je suis une énorme buveuse d..

✨ Photos bonus "Pisse Mémé" ! ☕ Je suis une énorme buveuse de thé et autres tisanes, j'ai une tasse à portée de main à n'importe quelle heure de la journée... Et toi ?

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📚 Aujourd'hui installe toi confortablement, on va tout plaqu..

📚 Aujourd'hui installe toi confortablement, on va tout plaquer et changer nos vies avec : Pisse Mémé De Cati Baur chez Dargaud Quatre copines, la quarantaine, avec des vies bien remplies et différentes, décident de tout plaquer ensemble pour ouvrir un bar à tisanes… et à bières locales. Avec un coin librairie… et aussi des cours de yoga… Bref une histoire de reconversion comme il en surgie un certain nombre depuis quelques années. On plaque tout, et on fait ce qu’on aime vraiment. Cati Baur, son trait inimitable, ses ambiances douces, revient en force avec cette excellente BD. Comme souvent dans son travail, on retrouve les histoires entremêlées de plusieurs personnages, de l’humour, de la tendresse, et ses petites choses qui font que parfois, la vie est bien faite. C’est la BD qu’on veut offrir à ses copines, parce qu’on a eu un peu la même idée, qu’on reconnait dans celle-ci le caractère de celle-là, ou juste que parfois, nous aussi on aimerait bien tout plaquer. Eh oui, mais même à plusieurs et avec une bonne idée, un projet pareil ça demande du travail, de la persévérance et un petit coup de pouce du destin. En bref comme toujours j’adore les livres de Cati Baur, et je t’invite à découvrir à ton tour cet indispensable pour passer un bon moment de lecture léger et se changer les idées. Que ce soit, les pieds en éventails, dans l’herbe, avec une grenadine ou bien au chaud sous un plaid douillet avec un pisse mémé.

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✨ Les photos bonus de "La Malédiction de Mamo" ! Ca a un pet..

✨ Les photos bonus de "La Malédiction de Mamo" ! Ca a un petit goût d'été tout ça non ? ☀🌿

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📚 Aujourd'hui je t'emmène faire un tour à la campagne au bor..

📚 Aujourd'hui je t'emmène faire un tour à la campagne au bord de mer avec : La Malédiction de Mamo De Sas Milledge chez Jungle Orla est la dernière d’une lignée de sorcière. Après le décès de sa grand-mère Mamo qui gérait la magie dans la petite ville d’Haresden tout semble partir de travers. Les éléments se déchainent, les récoltes se gâtent et les esprits frappeurs débarquent ! Jo, vient chercher l’aide de cette nouvelle sorcière fraîchement débarquée pour sauver sa mère. Mais plus les deux adolescentes vont creuser plus il semble clair que Mamo est au centre de tout ce déchainement magique. Voilà un petit one-shot jeunesse franchement sympa ! Magie, enquête, adolescence et découverte de soi, des thèmes classiques mais efficaces dans une histoire qui se laisse lire toute seule. Le dessin fluide de l’autrice australienne fait couler les pages entre tes doigts, et les personnages sans être très originaux, donnent cependant envie de les connaître. A ce jour seulement ce roman graphique jeunesse et son travaille sur un épisode de la série Buffy ont été édité en France, mais l’autrice compte tout de même plusieurs livres à son actif et je serai curieuse de découvrir les autres. En résumé une belle lecture à dévorer à partir du collège.

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Une petite oasis faite maison, où entre les branches, tu peu..

Une petite oasis faite maison, où entre les branches, tu peux m'observer sans te faire voir... A moins que je sache pertinemment que tu me regarde ? 🥴🥵🤤 Je te promet un set qui va faire monter la température... Poitrine, fesses et même un peu plus... 😼

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✨ Photos bonus pour "Les Amants sacrifiés" dans lumière vert..

✨ Photos bonus pour "Les Amants sacrifiés" dans lumière verte qui colle bien à l'ambiance du manga. Bon weekend.

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📚 Aujourd'hui j'ai un peu l'air de sortir du lit, mais promi..

📚 Aujourd'hui j'ai un peu l'air de sortir du lit, mais promis je suis bien réveillée pour te parler du drame intense du manga : Les Amants Sacrifiés De Masasumi Kakizaki d’après l’idée originale de Kiyoshi Kurosawa, Ryusuke Hamaguchi et Tadashi Nohara, chez Ki-oon C’est la Seconde Guerre mondiale. Nous sommes en 1940 et pour le moment le Japon est relativement épargné. La culture occidentale se fraie pas à pas un chemin sur l’île nippone et il n’est pas rare de voir une partie de la population adopter de nouvelles habitudes de vie. Satoko est femme au foyer, et son mari Yusaku, est le directeur d’une entreprise de commerce internationale basée à Kobe. Ils font partie de ses foyers modernes jaugés d’un œil critique par les autorités. Mais suite à un voyage de son époux sur le continent, qui risque de ne bientôt plus être aussi accessible à cause de la guerre, Satoko va sentir son quotidien changer. Yusaku lui annonce brutalement son désir de les expatrier rapidement aux Etats-Unis, un des ennemie potentiel du Japon. Toute cette affaire à le goût du secret, et ils vont mettre à mal l’éthique personnelle et les valeurs de Satoko. Partagées entre son amour et son devoir patriote, la jeune femme entre dans la tourmente. Adapté du film de Kiyoshi Kurosawa sorti en 2020, ce manga en 2 volumes est une vraie claque ! Graphiquement il n’y a absolument rien à dire, Masasumi Kakizaki est irréprochable comme à son habitude, avec son style fouillé et précis. L’histoire quant à elle s’annonce terrible et dramatique avec des choix insolubles (mais en même temps, c’est ce qu’on aime non ?). Le premier tome m’a complètement électrisé, en fermant le manga je vibrais déjà d’impatience de lire la suite et fin, et de frustration de ne pas les avoir immédiatement ! C’est puissant, dur et impitoyable, tout ce que j’aime je te dis ! Donc vas-y, jette-toi dessus, ça vaut plus que le coup. Pour moi, je le sais déjà, c’est un gros coup de cœur ! Envie de découvrir le style de l’auteur dans une histoire moins réaliste ? Cours demander à ton libraire « Bestiarius » ou encore « Green blo*od » deux pépites graphiques au scénario en béton.

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📚 Chronique exceptionnelle, pour TIRAGE AU SORT ! Tente de g..

📚 Chronique exceptionnelle, pour TIRAGE AU SORT ! Tente de gagner sur Instagram : Le Dernier Quai Dédicacé par Nicolas Delestret chez Grand Angle (jeu réservé aux résidents de France Métropolitaine) J’ai reçu dans ma boîte aux lettres cette BD, et je dois dire que rien que la couverture m’a tout de suite donné envie de l’ouvrir, et je ne m’attendais pas à ça ! Emile a des journées parfaitement organisées. Tant et si bien qu’il pourrait accomplir toutes ses tâches habituelles les yeux fermés. Il gère un hôtel. Rien n’est laissé au hasard et tout doit être parfait pour les prochains occupants. Car le Dernier Quai n’est pas un établissement comme les autres. En effet les clients arrivent directement par le train après leur mort, et Emile est là pour les aider à faire face à leurs derniers regrets, pour enfin passer à la suite. Un lieu d’introspection et de souvenir, dirigé avec brio par le gérant. Jusqu’au jour où l’ensemble de la journée habituellement si bien organisée d’Emile va complètement dérailler. J’ai adoré l’ambiance de ce livre. On part d’une situation assez classique de huis-clos où les personnages apprennent à se connaître tant les uns les autres, qu’eux-mêmes, mais le récit comporte plusieurs dimensions imbriquées qui lui donnent une profondeur intéressante. Le rythme est lui aussi bien géré, d’abord lent, il s’accélère petit à petit avec la tension qui monte. Le dessin souple qui joue avec les cadrages et semble parfois distordre la réalité, ainsi que les couleurs, tantôt vives tantôt sombres, accompagnent parfaitement l’ensemble et appuient l’immersion au récit. Et je relève de grosses influences de Ghibli autant graphiques que scénaristiques qui raviront les mordus du genre. Nicolas Delestret semble continuer ici sa recherche autour de la mort et du souvenir qui reviennent souvent dans ses œuvres, notamment avec ses précédentes BD chez le même éditeur « La Maison des Souvenirs » ou « Adieu Monde Cruel ». Certes le thème n’est pas forcément des plus joyeux, mais l’auteur arrive à l’aborder avec une certaine légèreté, de l’émotion et des sentiments forts et cathartiques en recherche d’apaisement. Personnellement je suis ressortie de ma lecture avec satisfaction et une petite bulle qui m’a portée quelques heures dans ma journée. ✨ Et comme c'est une chronique exceptionnelle imprévue, tu as le droit dès aujourd'hui aux photos bonus !

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✨ Photo bonus "Les Futurs de Liu Cixin". J'ai hâte que l'été..

✨ Photo bonus "Les Futurs de Liu Cixin". J'ai hâte que l'été soit bel et bien là pour profiter de l'extérieur à nouveau !

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📚 C'est Lundi, et je te parle d'une série qui regarde vers l..

📚 C'est Lundi, et je te parle d'une série qui regarde vers l'avenir : Les Futures de Liu Cixin Pour la photo « Pour que respire le désert » adapté par Valérie Mangin et Steven Dupré chez Delcourt Liu Cixin est l’un des auteurs à suivre ces dernières années en science-fiction. On le trouve dans tous les rayons dédiés, notamment sa trilogie « Le problème à trois corps », que je n’ai encore jamais eu l’occasion de lire, mais qui se trouve dans ma liste de romans à découvrir. Mais si tu veux une critique des premiers volets, file sur le compte instagram de @le_nomen_dubium , qui, quand il ne parle pas de dinosaure (avouons-le c’est plutôt rare :p) s’intéresse à divers bouquin, plus ou moins remplis de mots et d’images. Les Futures de Liu Cixin est donc une collection de 15 nouvelles de l’auteur, qui sont adaptées par plusieurs scénaristes et illustrateurs aux éditions Delcourt. Je dois dire que j’étais assez contente de pouvoir découvrir ce monstre de la Hard SF, par un biais qui me semblait un peu plus facile à appréhender, que ses énormes pavés pleins de mots et de trucs physiques et mathématiques, qui dépassent aujourd’hui grandement ma compréhension de ces domaines respectifs. J’ai lu à ce jour les 5 des 13 adaptations publiées ce jour, et franchement je suis plutôt séduite. Alors attention, ici pas de combats spatiaux et de rayons laser dans tous les sens, ça n’est pas le genre de la maison. Le principe de la hard science-fiction c’est avant tout, les sciences dures et la technologie, et la vraisemblabilité de leur utilisation et de leur mise en place dans le récit. L’aspect scientifique est donc, bien sûr très présent, mais jamais au détriment de l’humain et du social qui remplissent le reste des histoires, de façon plus ou moins égale. Si tous les tomes ne seront pas nécessairement des coups de cœur, je pense que la collection représente néanmoins une excellente série de one-shot intéressants et originaux, pour tous les amateurs de SF. D’ailleurs, j’ai beaucoup aimé « Les trois lois du monde » que j’ai trouvé très touchante et le dessin de Zhang Xiaoyu est vraiment superbe. Donc si tu as envie de découvrir la SF, de diversifier tes lectures ou juste de te lancer dans une série sans obligation de suivi, c’est par là que ça se passe.

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✨ Photos bonus "Die". Et toi tu es rôliste ?

✨ Photos bonus "Die". Et toi tu es rôliste ?

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📚 Je te propose de terminer la semaine en apothéose avec la ..

📚 Je te propose de terminer la semaine en apothéose avec la superbe série : Die De Kieron Gillen et Stéphanie Hans chez Panini comics Si Jumanji rencontrait Donjons & Dragons ça donnerait Die. Au début des années 90, six ados vont débuter une partie de jeu de rôle, qui s’annonce mémorable, pour les 16 ans de l’un d’eux. Mémorable c’est le mot, puisqu’ils vont tout simplement disparaitre de la surface du globe pendant deux ans… Et réapparaitre à, disons 3 quart, et complètement traumatisés. Que s’est-il passé ? Où est le sixième ? Pourquoi les 5 gamins ne disent absolument rien de ce qui leur est arrivés ? Le temps passe, les liens se défont et la vie avance comme elle peut… Jusqu’à l’aube de leurs 40 ans. Là, chacun reçoit de nouveau un dé. Le message est clair. Le jeu doit reprendre. Peu importe les conséquences. Die c’est une déclaration d’amour aux jeux de rôles et à la littérature de fantastique et de fantasy qui les ont inspirés. C’est 4 volumes à l’univers riche en références, des sœurs Brontë jusqu’à Lovecraft. C’est une quête complexe et sans merci qui devra s’achever d’une manière ou d’une autre. C’est aussi ce que chaque joueur met dans la partie, quelle part de lui, réelle ou fantasmée, il injecte dans son personnage et ses actions. Et quelles émotions, ses parties cathartiques, peuvent servir à exorciser. C’est surtout un dessin hallucinant, parfois proche de la peinture, qui t’embraque dès que tu ouvres les premières pages. Des ambiances glacées et cendreuses de la guerre, à la chaleur brûlante des flammes et des passions, Stéphanie Hans nous en fait voir de toutes les couleurs avec énormément de finesse, et chaque tableau est vivant. On pourrait reprocher à l’histoire d’être parfois trop bavarde, un peu trop complexe et tordue sur elle-même, mais je trouve que ça rend plutôt honneur à l’intelligence de ces jeux. Loin des clichés habituels et des références classiques à la Pop Culture, Die s’attaque au « pourquoi » du jeu et à ses références un peu moins directes et un peu plus « intello » à travers la littérature classique. Ce que j’ai beaucoup apprécié. La seule chose que je recommanderai cependant, c’est de ne pas laisser passer trop de temps entre la lecture de 2 volumes. Car en effet, l’intrigue étant dense, il est facile de se perdre un peu en route. Si tous les rôlistes, et même les lecteurs, ont tous un jour voulu vivre les aventures jouées ou lues, moi la première, finalement, après Die… Peut-être plus tant que ça. Et toi ?

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✨ Photo bonus, "Le cœur en braille". Certes il n'y a pas be..

✨ Photo bonus, "Le cœur en braille". Certes il n'y a pas beaucoup de différence avec celle d'hier, mais je te promet que le set de la fin du mois va valoir le coup d'œil, et plutôt deux fois qu'une 😊🥴

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📚 Aujourd'hui, un seul être vous manque et le monde est aveu..

📚 Aujourd'hui, un seul être vous manque et le monde est aveugle... A non, ça n'est pas tout à fait ça, mais le cœur y est, je te parle du superbe : Le Cœur en Braille De Joris Chamblain et Anne-Lise Nalin chez Dargaud Pour Victor les cours c’est le calvaire. Ses résultats sont de pire en pire et comme il est assez spontané, le lycéen se retrouve régulièrement dans le bureau du CPE pour avoir ouvert sa bouche quand il ne fallait pas. Pourtant pas mauvais bougre, il désespère sur ses capacité et la possibilité de trouver un jour sa voie dans le monde. Mais un jour, Marie-José, jolie brin de fille à l’intelligence incroyable et violoncelliste de talent, va lui venir en aide pendant un contrôle de maths. Pourquoi ? Et comment soudainement, ces deux là vont se rapprocher et se retrouver liés par un secret qui va les entraîner jusqu’au bout de l’année scolaire ? Boom. J’étais tombé sur quelques illustrations en cours en doom scrollant sur instagram et j’ai été conquise instantanément. Le dessin d’Anne-Lise Nalin m’a transporté et j’ai été impatiente de lire l’histoire sur laquelle elle travaillait, peu importe quel en serait le sujet. J’ai d’abord été un peu surprise en librairie en découvrant le format. Je m’attendais à un roman graphique jeunesse et pas à une taille « standard ». Mais peu importe car je me suis laissé avoir dès les premières pages et je ne l’ai pas quitté jusqu’à la dernière. Pour moi, Le Cœur en Braille est un beau coup de cœur, une lecture à faire en famille, à partager et offrir pour faire vibrer. C’est doux, bien fait et pleins d’émotions. Ça aborde un sujet difficile mais peu vu avec douceur et dans un cadre inattendu. En bref une petite pépite à dévorer.

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✨ Photos bonus "La Dernière Reine".

✨ Photos bonus "La Dernière Reine".

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📚 Pour terminer la semaine, je te propose un tour en montagn..

📚 Pour terminer la semaine, je te propose un tour en montagne avec : La Dernière Reine De Jean-Marc Rochette chez Casterman L’histoire se déroule principalement sur le plateau du Vercors, d’où est originaire Edouard Roux notre protagoniste. Jeune homme un peu sauvage qui a toujours vécu en marge de la société des hommes. Le malheureux rentrera de la guerre de 14 avec une grande partie du visage arrachée. Effrayant, étranger à lui-même, il se noie dans l’alcool la tête masquée au monde par un sac informe. Jusqu’au jour où il entend parler d’une femme à Paris, Jeanne Sauvage. Sculptrice, elle rendrait aux gueules-cassées leur visage, leur identité, leur vie, en échange de peu. La Dernière Reine c’est le récit de cette rencontre, mais c’est aussi celle du dernier ours à avoir arpenté le plateau. On parle de nature sauvage, d’amour, d’art. Jean-Marc Rochette ne décroche pas de ses amours pour la montagne et la force animale, questionnant la bestialité de l’homme et la société humaine. On retrouve aussi ses couleurs et son trait rugueux et bruts, qui viennent de la peinture. Si cette nouvelle BD m’a moins frappée que Ailefroide qui avait signé le grand retour de l’auteur en 2018, je me suis néanmoins laissée embarquer sans difficulté dans l’histoire. Les personnages sont intéressants et la narration bien maîtrisée. Mais le nombre des thèmes abordés est élevé, peut-être un peu trop ? Ecologie, féminisme, gueules cassées, milieu artistique… On ne peut tout voir en détail. Et si le parti prit de Jean-Marc Rochette de fixer sa fiction sur des morceaux d’histoire réelle est intéressant, j’aurais sûrement préféré lire une histoire « vraie ». Le personnage principale féminin par exemple a été inspiré par la sculptrice Jane Poupelet, et le personnage d’Edouard a pu trouver ses racines dans la vie de nombreux jeunes hommes de la même époque. Il en ressort une jolie romance, mais la fin du livre semble se perdre un peu dans une sorte de flou artistico-chamanique sur la puissance des lignées et de la nature qui ne m’a pas forcément convaincue. Cependant La Dernière Reine reste une excellente lecture qui ravira un large public. Et toi, tu l’as lu ? Qu’est-ce que tu en a pensé ?

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BFF De Clément Fabre, Thomas Cadène et Joseph Safieddine che..

BFF De Clément Fabre, Thomas Cadène et Joseph Safieddine chez Delcourt. Peux-tu tout dire à tes amis ? D’ailleurs, tes amis sont-ils vraiment tes amis ? Grolivier, pas si gros, mais qui se traîne le surnom depuis l’époque de la fac dans son groupe de potes, a une place bien établie parmi eux. Lui c’est le mec toujours sympa, qui essaie de vivre de sa musique classique (mais tout le monde s’en fout, c’est chiant) et qui vit surtout des impôts des autres. De fait, dans ce groupe, comme dans tous les autres, chacun à sa place et son étiquette : le lourd/rigolo de service, la super organisatrice trop directive, le couple, la moche gentille, etc. Et comme ils se connaissent depuis toujours, les rôles n’ont jamais changé. Mais le pourraient-ils ? Tes potes pourraient-ils accepter que tu sois quelqu’un de complètement différent ? Si l’intermittent en galère était finalement un prodige du piano mondialement reconnu ? Si le rigolo avait un gros passage à vide ? Si le couple n’allait pas si bien ? Clément Fabre que j’avais adoré et découvert dans "Explicite" et "Le Chantier", revient en compagnie du duo de scénaristes dont les noms ont de plus en plus souvent fait l’actualité BD de ces dernières années, et dont j’avais chroniqué « A pleine mains », qui était un vrai coup de cœur pour moi. Et ensemble ils nous offrent le superbe "BFF" (Best Friends Forever, enfin, tu vis dans une grotte ?). A la base sortie en format Webtoon avec Dupuis, l’histoire a fait partie de nominations pour les Eisner Awards, ce qui a permis aux auteurs de négocier une sortie imprimée avec Delcourt. Et j’en suis bien contente ! J’ai adoré cette lecture à la fois légère et réfléchie d’une bande d’amis comme il y en a tant. Alors certes, moi qui suis fan des aquarelles de Clément j’étais un poil déçue de voir une colo numérique, mais le format d’origine explique ça, ainsi que l’absence de décors, remplacés par des fonds colorés, qui m’avait déplus en feuilletant rapidement l’ouvrage. Mais à la lecture, tous ces petits points négatifs ont disparu. Je me suis totalement fait embarquer par les personnages, celui d’Olivier surtout, et sur ce que les auteurs avaient à nous dire. Une fois n’est pas coutume, Cadène et Safieddine montrent un beau savoir-faire pour les histoires de potes et les crises existentielles de trentenaires (j’ai le droit, j’en fais partie OK ?!). On prend un petit groupe d’individus, on agite tout ça, rajoute le dessin un peu cartoon de Clément qui fait de super bouilles à ses personnages, auxquels tu t’attaches tout de suite, et paf ! Ca te fait une super lecture ! Donc n’attends pas, et court acquérir cet ouvrage dans l’échoppe la plus proche ! Non, internet c’est interdit, sauf pour lire mes avis, OK ?! Va-donc dans une librairie ! Et prends le temps de me dire qui tu es, toi, dans ta bande de potes.

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✨ Aujourd'hui je te gâte avec les nombreuses photos bonus de..

✨ Aujourd'hui je te gâte avec les nombreuses photos bonus de "1629" ! N'hésite pas à me laisser un pourboire pour me soutenir si tu aimes mes photos et mes chroniques ça m'aidera à continuer. 😊😘

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📚 C'est Vendredi ! Et pour terminer la semaine voilà une BD ..

📚 C'est Vendredi ! Et pour terminer la semaine voilà une BD qui te fera naviguer en eaux troubles pour le weekend : 1629 …ou l’effrayante histoire des naufragés du Jakarta De Xavier Dorison et Thimothée Montaigne chez Glénat Woaw ! 2022 nous en a donné des histoires en mer assez incroyables, mais clairement 1629 fait partie des meilleurs ! 1629, donc. La Compagnie Hollandaise des Indes Orientales, puissance économique incroyable, règne en maître incontesté et inégalé sur le commerce international. Seulement voilà, pour rester toujours plus compétitif, il faut rogner sur les prix, même si pour cela c’est l’équipage qui trinque. Dorison, excellent scénariste qu’on ne présente plus, va s’intéresser de près à la mécanique qui fait passer l’homme, de créature évoluée, réfléchie, organisée, voir même raisonnable, à l’état de bourreau sanguinaire. D’ailleurs sa préface pose directement l’ambiance : ça va être moche. Te voilà donc parti pour un huis-clos en pleine mer sur une coquille de noix, qui paraissait pourtant un fier vaisseau, mais qui rapidement aura du mal à contenir toute la tension interne de l’équipage et des passagers. Non, décidément, pas besoin de pirates ici. Les injustices, l’épuisement et les esprits échauffés suffisent plus qu’assez à mettre le feu aux poudres et à déclencher l’une des mutineries les plus sanglante de l’histoire maritime, ou chacun va lutter pour sa survie. Voilà, ambiance donc. Mais dans un écrin assez incroyable, parce que c’est le sieur qui dessine et que c’est beau et expressif, si le scénario est génial, le dessin te transporte directement au milieu du pont et l’histoire te happe complètement. Ça fait longtemps que je n’avais pas été passionnée autant par une lecture. C’est quand je lis ce genre de pépite que je me rappelle que si j’aime lire, c’est avant tout, pour les quelques œuvres qui me prennent sans prévenir et me passionnent totalement. 1629 en fait partie. Donc cours le découvrir, achète-le, emprunte-le, fais-le toi offrir, mais il faut le lire. Et le fameux débat sur le prix : Sinon, Glénat a mis le paquet en termes de fabrication : grand format, couverture de qualité avec dorures et effet « tissé » et signet, tout pour mettre en valeur les 135 pages de ce premier volume du diptyque annoncé. Oui, c’est vraiment un bel objet. J’en parle rarement, mais là, je vais aborder le sujet a fait grincer des dents pas mal de monde : le prix. Assez conséquent, on est sur 35€ tout de même, il a freiné beaucoup d’acheteurs. Moi-même à ce prix-là, j’ai plutôt envie d’attendre une intégrale. Alors si on remet au nombre de page etc, on rentre complètement dans le tarif des BD actuelles, une BD de 70 pages pour 17€ c’est plus ou moins, ce qui se fait. Mais pour le même prix on peut aussi avoir un roman graphique du double de pages. C’est la fabrication qui a alourdi le budget. Et je comprends ! Ce récit mérite un bel écrin, mais n'aurait-il pas plutôt fallut une sortie plus classique des 2 tomes séparés et une intégrale prestigieuse ? Je me pose la question…

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✨ PhotoS bonus "L'Etrange Vie de Nobody Owens" Moi j'adore m..

✨ PhotoS bonus "L'Etrange Vie de Nobody Owens" Moi j'adore me balader dans les cimetières et toi ?

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📚 Aujourd'hui c'est férié et j'espère que tu vas en profiter..

📚 Aujourd'hui c'est férié et j'espère que tu vas en profiter ! Je te propose une évasion dans l'imaginaire avec ce classique : L’étrange vie de Nobody Owens De Philip Craig Russell d’après Neil Gaiman chez Delcourt J’ai mis beaucoup trop de temps à me pencher sur ce classique, dont le roman est paru en 2008 et adapté en comics en 2014 aux US, puis l’année suivante en France. Mais la sortie de l’intégrale en septembre dernier a été l’occasion le faire, enfin. Et je ne suis absolument pas déçue. Si toi aussi tu es passé à côté jusqu’à aujourd’hui, c’est une chance, car tu pourras avoir le plaisir de le découvrir. Nobody Owens est un petit garçon tout ce qu’il y a de plus normal, si ce n’est qu’il vit dans un immense cimetière, aux sépultures millénaires. Elevé par des fantômes et un sombre tuteur, depuis que bambin, il y a trouvé refuge, Nobody grandit en marge de la société en découvrant les choses de la mort et du fantastique, invisibles au regard mortel. Le garçon se développe dans un calme relatif, pendant que de l’autre côté des grilles du cimetière, un danger mortel pèse sur lui. J’ai adoré la façon dont a été construite l’histoire. Un chapitre après l’autre, une aventure suivant la précédente, tu observes Nobody grandir, faire ses expériences et développer sa personnalité et ses aptitudes. Si au début le récit a une certaine lenteur, petit à petit l’intrigue et les personnages deviennent de plus en plus intéressants et tu veux avoir le fin mot de l’histoire. Pour moi le format était top car je lisais un chapitre par-ci par-là, et c’était mon petit rendez-vous quotidien avec l’univers sombre, étonnant et fourmillant de Neil Gaiman, qui a travaillé sur mon imaginaire et ma patience pendant quelques jours. Le dessin, certes un peu vintage, reste cependant très accessible à tous les lecteurs et cet ouvrage mérite amplement sa place dans les bibliothèques des fans de fantastique. Alors, tenté ?

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Oh my... On peut faire passer beaucoup de choses avec des CD..

Oh my... On peut faire passer beaucoup de choses avec des CD 💿📀😋😁 Crois-moi cette série va te donner chaud ! Pas sûr que tu tiennes en place après ça 🔥🥵🤯 Je vais rarement autant dans l'explicite 😵💦👄

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✨ Photos bonus "En attendant la fin du monde" ! Elle n'est p..

✨ Photos bonus "En attendant la fin du monde" ! Elle n'est pas un peu frustrante cette série de photos ? Non ? 😋😈😇

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📚 Aujourd'hui je te parle d'une BD pas récente, mais qui me ..

📚 Aujourd'hui je te parle d'une BD pas récente, mais qui me fait toujours autant rire : En attendant la fin du monde De Marc Dubuisson chez Exemplaire Marc c’est juste l’homme le plus drôle du monde. Et je l’aime d’amour. Voilà. (coucou Marc si tu me lis) … Ok peut-être exæquo avec Boulet, que j’aime aussi d’amour et qui fait des blagues sur Bloody Mary et des dessins avec pleins de petits traits, mais on y reviendra dans un autre post. En vrai c’est dur d’écrire un truc un peu fun et pas prise de tête sur un auteur drôle et talentueux. J’ai presque envie de te faire un copier-coller de la super préface écrite par Florence Hainaut (journaliste et réalisatrice de documentaires), mais ça ne se fait pas trop (donc une bonne raison pour toi d’acheter ce livre pour la lire !). Sache donc, qu’En attendant la fin du monde, contient le meilleur du best of des plus drôles dessins de presse de Marc Dubuisson de 2020 à 2021 (une période joyeuse et faste, tu en conviendras), le tout à chaque fois, en 4 cases et avec des bonhommes bâton et des titres rigollots. Et pour toujours plus de lol, l’auteur rajoute presque toujours une petite annotation dans la marge, pour commenter son travail (là où les dessins sont ratés, et là où les jeux de mots sont bons quand même. Hein c’est drôle ? Dis qu’elle est drôle la blague.). Et donc, il faut que tu te procure cette incroyable BD (jolie, drôle, pas chère) pour 5 raisons : 1. Putain c’est drôle 2. Tu soutiens une super maison d’édition qui soutient de supers auteurs 3. Tu soutiens un super auteur soutenu par une super maison d’édition 4. Ça me fera plaisir. 5. Il est pas trop cool ce format italien ? Et s’il te faut une preuve du très bon travail du monsieur, tu peux le suivre sur son compte insta : @unpied Sinon ce livre est trouvable sur le site des éditions Exemplaire ou dans les librairies qui les soutiennent. (Et moi j’arrête de faire des parenthèses, c’est chiant non ? Parce que j’aime bien en vrai…)

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✨ Je sors les griffes et les dents pour les 3 photos bonus d..

✨ Je sors les griffes et les dents pour les 3 photos bonus de "L'Homme à la Tête de Lion" ! N'hésite pas à me laisser un petit pourboire pour me soutenir si mes photos et mes chroniques te donnent aussi envie de rugir 😺😼😽

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📚 AUjourd'hui libère la bête sauvage qui est en toi ! Je te ..

📚 AUjourd'hui libère la bête sauvage qui est en toi ! Je te parle de : L’Homme à tête de Lion De Xavier Coste chez Sarbacane Au début du XXe siècle, Hector, mi-homme, mi-lion et totalement hors du commun, quitte son petit cirque d’Europe, à la recherche de la gloire et de la célébrité, dans les immenses caravanes américaines qui sillonnent ce nouveau monde en plein expansion, exhibant à la population les fameux « freaks shows ». J’avais absolument adoré l’adaptation de "1984" de Xavier Coste, donc j’attendais avec beaucoup d’impatience cette nouvelle histoire, qui se présente elle aussi sous ce format que j’adore, entre le carré et l’italienne. Côté graphisme, rien à redire. Tu vas en prendre plein les mirettes. Des couleurs puissantes, des pleines pages dingues de poésie et de force, du détail, du gigantisme, tout y passe et c’est un vrai régal pour les yeux. Les cases, les pages et les dessins s’enchainent avec souplesse. J’adore feuilleter encore et encore cette BD. Pour ce qui est de l’histoire… C’est plus compliqué. J’adore cette période hallucinante, grouillante de vie et d’activité du début XXe aux États-Unis. Il y a tellement de choses à en dire ! Mais l’histoire est entièrement centrée sur Hector, on ne voit finalement qu’assez peu le monde hors du cirque. Et comme le personnage est plutôt froid et antipathique il est difficile de s’attacher à lui. Donc émotionnellement je n’ai pas beaucoup vibré à cette lecture ni été spécialement touchée par les différentes péripéties que l’on suit sur son temps de vie. Pourtant le personnage est riche et complexe. Mais je crois qu’il m’a manqué ce petit « je ne sais quoi » en plus pour en faire un véritable coup de cœur. Mais graphiquement, c’est une vraie claque, aucun doute là-dessus. Rien que pour ça, je t’engage à ouvrir cette BD, parce que ça vaut clairement le détour. Woaw !

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✨ Photo bonus pour "La Contrebande Society de Forest Hill" !..

✨ Photo bonus pour "La Contrebande Society de Forest Hill" ! Et quelle est la série de photos qui revient pour la fin du mois ? On paris que je peux faire tenir les CD sans les mains ? 😋💿

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📚 Aujourd'hui on parle d'animes classés -18 et de conneries ..

📚 Aujourd'hui on parle d'animes classés -18 et de conneries d'ado avec : La Contrebande Society de Forest Hill De Dave Baker et Nicole Goux chez Sarbacane La couverture m’a fait de l’œil en librairie et la chronique d'une amie instagrameuse à fini de me convaincre de le lire rapidement, ce que je n’ai pas regretté. Kelly, Brooke, Maggie et Melissa sont amies et élèves dans la stricte école chrétienne de leur petite ville sans intérêt. Les 3 internes s’évadent régulièrement pour passer du temps chez Maggie à regarder des animes piratés achetés illégalement à un mec louche du coin. Sauf que cette fois-ci, les filles vont se retrouver face à « Super Love XL » un anime où l’héroïne, loin du côté kawaï des magical girls habituelles, tire des rayons laser avec ses seins et s’occupe du méchant de façon tout à fait surprenante. Passé le choc de cette découverte étrangement excitante, la petite bande monte un plan de génie : elles vont copier le DVD et le vendre sous le manteau aux mecs du lycée afin de pouvoir enfin s’offrir des vestes trop stylées et devenir enfin cool. Une histoire de connerie d’adolescence comme il en existe des tas, certes, mais vraiment prenante et bien écrite. L’ambiance est dans un sépia bleu/vert avec un dessin accessible et détaillé avec un découpage dynamique donnent beaucoup de facilité à la lecture. J’ai adoré toutes les petites infos données sur chaque personnage, même et surtout ceux en second plan auxquels tu ne t’intéresse pas, mais qui apportent un relief particulier à l’ambiance posée. J'ai eu des retours de lecteurs qui m'ont dis que l'histoire était un peu trop éparpillée à leur goût et qu'ils avaient eu du mal à s'intéresser aux personnages. Et en effet la narration peut donner cette impression. De mon point de vue, ça ne m'a pas dérangé, car finalement la vie est comme ça, elle part dans tous les sens... Et toi, tu l'as lu ? Ca te tente ? Et sinon c'est quoi ta plus grosse bêtise d'ado ?

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✨ Photos bonus "Aux fourneaux les Blaireaux" ! Pas sûre que ..

✨ Photos bonus "Aux fourneaux les Blaireaux" ! Pas sûre que la cuisine me réussisse 🤔😄

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📚 C'est vendredi et on finit la semaine en réflechissant aux..

📚 C'est vendredi et on finit la semaine en réflechissant aux bons petits plats qu'on va pouvoir se faire ce week-end ! Heu... Enfin quand tu sais cuisiner. Mais si tu ne sais pas, pas de panique, voilà la solution : Aux Fourneaux les Blaireaux De Olivier Jouvray et Morgane Velten à l’Epicerie Séquentielle Le premier carnet de recettes en BD extrait de l’insta éponyme @auxfourneauxlesblaireaux est une petite pépite de cuisine séquencée, dédié, je cite, « aux manchots des fourneaux, aux blaireaux de la casserole, aux tanches du moule à tarte ». Aussi dès les premières pages le ton est clair, si tu viens lire cette BD parce que « tu rêves de savoir faire un suprême de machin chose à l’étouffée avec son lit de pétale de merdouilles confites sur canapé de trucs exotiques » ou raconter comment toi tu fais la recette en commentaire, tu peux tout de suite aller te faire cuire le Q, on n’est pas sur @marmiton_org OK ? Si par contre, tu es capable de te couper avec une cuillère et que tu ne sais pas par où manipuler une poêle, ou simplement que tu aimes apprendre des trucs et rigoler un coup, c’est par là que ça se passe. Tu l’auras compris, le but de cette BD c’est de vulgariser la cuisine au maximum ! Depuis la cuisson des nouilles en passant par comment éplucher ses légumes, tu auras accès à une bonne 40aine de trucs et astuces pour pouvoir survivre à peu près seul sans maman pour te faire des petits plats. Oui, c’est le cadeau idéal pour que vos poussins qui quittent le nid ne se nourrissent pas exclusivement de pizza surgelées et de kebab dans leur nouvelle vie étudiante autonome et responsable. Très courte, chaque recette ou astuce, couvre maximum une double page. C’est très bien expliqué, illustré et sacrément drôle. Donc en un mot comme en cent : fonce ! Si tu as besoin de te faire un avis ou juste de jeter un œil, sa se passe sur auxfourneauxlesblaireaux et si tu veux les soutenir et acheter la BD tu trouveras le lien pour le faire dans leur bio instagram ou sur le site internet auxfourneauxlesblaireaux.com car ils ont choisi une structure d’auto édition associative et participative lyonnaise, l’Epicerie Séquentielle, pour sortir la BD d’une façon alternative et plus équitable pour les auteurs.

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